Aujourd’hui, je débute officiellement mes vacances. Et pourtant, difficile de vraiment m’y mettre. La météo très pluvieuse ne m'incite pas à sortir et ce n’est pas l’idéal pour décrocher.
Pourquoi ai-je décidé de travailler un peu, alors que la période est censée être au repos ? Après un long déplacement professionnel de 11 jours, j’ai accumulé du retard, et il m’est difficile de couper sans avoir l’esprit tranquille.
Vous connaissez ça, vous aussi ?
Quand j’étais salarié, j’ai souvent constaté qu’il y avait un prix à payer pour partir en vacances : devoir boucler une montagne de tâches avant, et affronter un autre sommet à mon retour. Ce mode de fonctionnement ne me convient plus. Aujourd’hui, je préfère prendre un peu de temps pour gérer les urgences et vraiment savourer ma pause ensuite.
Est-ce idéal ?
Peut-être pas. Mais c’est ce qui fonctionne pour moi, pour l’instant.
Pourquoi est-ce si dur de s’arrêter ?
Je remarque que, comme beaucoup d’entrepreneurs passionnés, mon activité est toujours un peu là. Une idée peut surgir au détour d’une randonnée, ou d’un échange inspirant avec un ami entrepreneur. J’ai compris que mon défi, aujourd’hui, c’est de distinguer l’urgent… du reste.
Chaleureusement,