Je vous souhaite en belle forme alors que nous abordons déjà le dernier trimestre de l’année.
En ce moment, mes fins de nuits sont parfois agitées. Ce n’est pas agréable et vous l’imaginez, ce n’est pas le fruit du hasard. Trop de pensées et de préoccupations me réveillent après quelques heures de sommeil.
Pourtant, depuis 2024, Anne-Chantal et moi avons instauré une semaine d’arrêt professionnel par mois, justement pour prendre du recul si bénéfique et dont nous avons tous besoin à certains moments de notre vie. Une respiration précieuse. Mais, juste là, je n’y parviens pas comme je l’aimerais. Rien de grave car j’en suis conscient et je reste vigilant.
Bien sûr, plusieurs défis se bousculent en ce moment, comme l’organisation du Live Ami avec l’Argent du week-end prochain. Mais le véritable enjeu n’est pas à l’extérieur, ce serait trop facile : il est dans ma manière d’y répondre.
Dans ces moments-là, on entend souvent :
« Tu n’as qu’à lâcher prise ! »
Facile à dire… beaucoup moins à appliquer. Rares sont les personnes qui vous donnent le mode d’emploi.
Existe-t-il seulement un mode d’emploi infaillible ?
Ma solution du moment : écrire mes peurs, même les plus enfouies. Les mettre en lumière permet souvent de les alléger, à condition de ne pas laisser le mental s’emballer. Et puis, m’offrir de petites siestes dès que l’occasion se présente.
Cette semaine un sujet de préoccupation s’est libéré comme par magie. La naissance d’un petit Nolan, notre 3ème petit-enfant, fruit de l’union de notre fils Nicolas et de Sara. La naissance du premier enfant pour Anne-Chantal et ma fille Nathalie s’était mal passé et c’était dans un coin de ma tête. Hier matin, avant de partir en voyage, je l’ai pris dans les bras un moment. Il était si calme que juste le regarder, le cœur grand ouvert, m’a fait oublier tout le reste.
La vie d’un être humain, d’un entrepreneur plein d’idées, n’est jamais un long fleuve tranquille. Mais elle est riche d’expériences, d’apprentissages et, en fin de compte, c’est ce qui fait sa beauté.
Je vous laisse ici : il est 5h30 et j’espère grappiller encore une heure ou deux de sommeil.
Très belle entrée dans l’automne,
Chaleureusement,
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